SANS COMMENTAIRE
5 participants
Page 2 sur 3
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Re: SANS COMMENTAIRE
Xavier Darcos : "Pourquoi faire passer des concours à des personnes qui vont changer les couches des enfants ?"
Le ministre de l’Education a-t-il perdu une bonne occasion de se taire ? C’est en tout cas ce que les professeurs de maternelle lui ont fait comprendre après que Xavier Darcos ait déclaré en septembre : "Est-ce qu’il est vraiment logique que nous fassions passer des concours bac +5 à des personnes dont la fonction va être essentiellement de faire faire des siestes à des enfants ou de leur changer les couches ?"
Le ministre de l’Education a-t-il perdu une bonne occasion de se taire ? C’est en tout cas ce que les professeurs de maternelle lui ont fait comprendre après que Xavier Darcos ait déclaré en septembre : "Est-ce qu’il est vraiment logique que nous fassions passer des concours bac +5 à des personnes dont la fonction va être essentiellement de faire faire des siestes à des enfants ou de leur changer les couches ?"
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Georges Frêche : "C’est le Tibet qui a envahit la Chine il y a 2 000 ans"
Avril 2008 : alors que la polémique sur l’attribution des Jeux Olympiques à la Chine bat son plein et que des violences opposent l’armée aux Tibétains, George Frêche se lâche comme à son habitude. Lors d’une conférence de presse, le président de la région Languedoc-Roussillon, déclare : "C'est le Tibet qui a envahit la Chine il y a 2 000 ans !"
Avril 2008 : alors que la polémique sur l’attribution des Jeux Olympiques à la Chine bat son plein et que des violences opposent l’armée aux Tibétains, George Frêche se lâche comme à son habitude. Lors d’une conférence de presse, le président de la région Languedoc-Roussillon, déclare : "C'est le Tibet qui a envahit la Chine il y a 2 000 ans !"
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Dominique Souchet : il se trompe de siège et vote à la place de François Bayrou !
Comment être contre une loi mais finalement voter pour ? C’est l’incroyable histoire qui est arrivée à François Bayrou au mois de novembre. Occupant par erreur le siège du leader du Modem, un député du Mouvement pour la France a approuvé au nom de Bayrou le projet de loi de financement de la Sécurité sociale !
Comment être contre une loi mais finalement voter pour ? C’est l’incroyable histoire qui est arrivée à François Bayrou au mois de novembre. Occupant par erreur le siège du leader du Modem, un député du Mouvement pour la France a approuvé au nom de Bayrou le projet de loi de financement de la Sécurité sociale !
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Marie-Claire Restoux : arrivée en retard pour déposer sa candidature
C’est l’histoire d’une gaffe hallucinante. Alors qu’elle se présente aux municipales de Clichy (Hauts-de-Seine), l’UMP et ancienne judokate Marie-Claire Restoux dépose sa candidature en retard de… deux heures ! Hors-jeu, Marie-Claire Restoux décide de sauver la face en faisant croire qu’elle n’est plus en course parce qu’elle se désiste au profit du candidat du Modem !
C’est l’histoire d’une gaffe hallucinante. Alors qu’elle se présente aux municipales de Clichy (Hauts-de-Seine), l’UMP et ancienne judokate Marie-Claire Restoux dépose sa candidature en retard de… deux heures ! Hors-jeu, Marie-Claire Restoux décide de sauver la face en faisant croire qu’elle n’est plus en course parce qu’elle se désiste au profit du candidat du Modem !
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Françoise de Panafieu à propos de Delanoë : "Un tocard !"
Elle ne supporte pas la popularité de Bertrand Delanoë. Alors Françoise de Panafieu, candidate UMP et rivale du maire de Paris, se lâche en plein conseil de Paris. En février, elle traite ainsi publiquement Delanoë de "tocard !"
Elle ne supporte pas la popularité de Bertrand Delanoë. Alors Françoise de Panafieu, candidate UMP et rivale du maire de Paris, se lâche en plein conseil de Paris. En février, elle traite ainsi publiquement Delanoë de "tocard !"
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Bernard Laporte : "Je voulais voir les Antilles de vive voix"
Janvier : le Secrétaire d’Etat aux Sports accompagne François Fillon en Martinique et en Guadeloupe. A peine arrivé à Pointe-à-Pitre, l’ex-entraineur de rugby affiche sa satisfaction devant les journalistes : "J'y suis jamais venu, je voulais voir les Antilles de vive voix".
Janvier : le Secrétaire d’Etat aux Sports accompagne François Fillon en Martinique et en Guadeloupe. A peine arrivé à Pointe-à-Pitre, l’ex-entraineur de rugby affiche sa satisfaction devant les journalistes : "J'y suis jamais venu, je voulais voir les Antilles de vive voix".
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Dominique Perben à propos de Gérard Collomb : "On va les défoncer"
En février, le clip a fait le tour du Web. On y voit Dominique Perben, candidat à la mairie de Lyon, encourager ses militants à se battre contre l’opposition socialiste : "Il faut mettre le paquet, on va mettre le turbo, on va les défoncer !". Jugée "violente" par le maire PS Gérard Collomb, la vidéo est restée à peine quelques heures sur le Net.
En février, le clip a fait le tour du Web. On y voit Dominique Perben, candidat à la mairie de Lyon, encourager ses militants à se battre contre l’opposition socialiste : "Il faut mettre le paquet, on va mettre le turbo, on va les défoncer !". Jugée "violente" par le maire PS Gérard Collomb, la vidéo est restée à peine quelques heures sur le Net.
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Ségolène Royal voit "un rapport entre son cambriolage et les critiques du clan Sarkozy"
L’Etat a-t-il commandité un cambriolage chez Ségolène Royal ? L’accusation est un peu grosse mais l’ex-candidate socialiste n’en a cure. En juillet, après le cambriolage de son domicile parisien, la présidente de la région Poitou-Charentes n’a pas hésité à établir un lien direct entre la "mise à sac" de son appartement et ses critiques contre le "clan Sarkozy".
L’Etat a-t-il commandité un cambriolage chez Ségolène Royal ? L’accusation est un peu grosse mais l’ex-candidate socialiste n’en a cure. En juillet, après le cambriolage de son domicile parisien, la présidente de la région Poitou-Charentes n’a pas hésité à établir un lien direct entre la "mise à sac" de son appartement et ses critiques contre le "clan Sarkozy".
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Michèle Alliot-Marie et Rachida Dati jugent "normales" les conditions de l'interpellation de l'ex-directeur de Libé
L'ancien PDG de Libération Vittorio de Fillippis réveillé à 6h40 du matin par la police et menotté… pour une simple affaire de diffamation. Pour Michèle Alliot-Marie, les policiers ont "respecté la procédure". Une procédure "tout à fait régulière" renchérit alors Rachida Dati. Résultat : les ministres réussissent à se mettre à dos l'intégralité des médias… et provoquent la fureur de Sarkozy.
L'ancien PDG de Libération Vittorio de Fillippis réveillé à 6h40 du matin par la police et menotté… pour une simple affaire de diffamation. Pour Michèle Alliot-Marie, les policiers ont "respecté la procédure". Une procédure "tout à fait régulière" renchérit alors Rachida Dati. Résultat : les ministres réussissent à se mettre à dos l'intégralité des médias… et provoquent la fureur de Sarkozy.
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Roselyne Bachelot : "Si les tarifs augmentent, changez d’assureur"
Qui a dit qu’un ministre, ça sert à quelque chose ? Certainement pas Roselyne Bachelot. En juillet, et alors que l’instauration d’une nouvelle taxe risque d’augmenter les tarifs des mutuelles, la ministre de la Santé n’a pas hésité à déclarer : "Si les tarifs augmentent, changez d’assureur !"
Qui a dit qu’un ministre, ça sert à quelque chose ? Certainement pas Roselyne Bachelot. En juillet, et alors que l’instauration d’une nouvelle taxe risque d’augmenter les tarifs des mutuelles, la ministre de la Santé n’a pas hésité à déclarer : "Si les tarifs augmentent, changez d’assureur !"
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Brice Hortefeux : "Obama, c’est la preuve que le défi de l’intégration peut être relevé"
Novembre : alors que Barack Obama vient d’être élu président des Etats-Unis, Brice Hortefeux ne peut s’empêcher ce commentaire un brin déplacé : "C’est la preuve que le défi de l’intégration peut être relevé". Le ministre de l’Immigration oublie que la mère de Barack Obama est américaine et qu’Obama est né aux Etats-Unis, ce qui fait du nouveau président un citoyen américain… de souche !
Novembre : alors que Barack Obama vient d’être élu président des Etats-Unis, Brice Hortefeux ne peut s’empêcher ce commentaire un brin déplacé : "C’est la preuve que le défi de l’intégration peut être relevé". Le ministre de l’Immigration oublie que la mère de Barack Obama est américaine et qu’Obama est né aux Etats-Unis, ce qui fait du nouveau président un citoyen américain… de souche !
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Christine Lagarde : "L’essence est chère, faites du vélo"
Christine Lagarde est-elle de bon conseil face à la hausse des prix du pétrole ? On peut en douter depuis ses déclarations du mois de novembre. La ministre de l’Economie n’a pas hésité à dire aux Français : "L’essence est chère, faites du vélo !"
Christine Lagarde est-elle de bon conseil face à la hausse des prix du pétrole ? On peut en douter depuis ses déclarations du mois de novembre. La ministre de l’Economie n’a pas hésité à dire aux Français : "L’essence est chère, faites du vélo !"
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
DSK : au bord de la démission pour une maîtresse
C’est une aventure qui aurait pu coûter son poste à Dominique Strauss-Kahn. En octobre, le président du Fonds monétaire international est accusé d’avoir favorisé une employée du FMI avec laquelle il entretient des relations extraconjugales. Accusations finalement abandonnées, mais qui ont obligé DSK à faire amende honorable en public.
C’est une aventure qui aurait pu coûter son poste à Dominique Strauss-Kahn. En octobre, le président du Fonds monétaire international est accusé d’avoir favorisé une employée du FMI avec laquelle il entretient des relations extraconjugales. Accusations finalement abandonnées, mais qui ont obligé DSK à faire amende honorable en public.
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Bernard Laporte : "Je ne suis pas le père du bébé de Rachida"
Le secrétaire d’Etat aux Sports est abonné aux bourdes. La preuve, en octobre, avec ses propos tenus en conférence de presse alors que les rumeurs vont bon train sur l’identité du père de l’enfant de Rachida Dati. Devant la presse hilare, Bernard Laporte a ainsi déclaré : "Je tenais à dire que je ne suis pas le père de l'enfant que porte Rachida".
Le secrétaire d’Etat aux Sports est abonné aux bourdes. La preuve, en octobre, avec ses propos tenus en conférence de presse alors que les rumeurs vont bon train sur l’identité du père de l’enfant de Rachida Dati. Devant la presse hilare, Bernard Laporte a ainsi déclaré : "Je tenais à dire que je ne suis pas le père de l'enfant que porte Rachida".
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Rachida Dati : ses dernières photos
Nous retrouvons la ministre de la justice Rachida Dati avec le sourire lorsqu’elle quitte l’Elysée après sa réunion hebdomadaire avec son cabinet le 3 décembre 2008.
Nous retrouvons la ministre de la justice Rachida Dati avec le sourire lorsqu’elle quitte l’Elysée après sa réunion hebdomadaire avec son cabinet le 3 décembre 2008.
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Rachida Dati : ses dernières photos
La ministre de la justice Rachida Dati visite l'entreprise de fabrication d'armatures métalliques Cepaba, le 21 novembre 2008 à Avignon.
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Rachida Dati : ses dernières photos
Rachida Dati quitte l’Elysée le 19 novembre 2008.
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Ce lien est établi trop rapidement, il est aussi inutile dans un milieu pareille,il est meme mesquin!M-Christine-Modératrice a écrit:Ségolène Royal voit "un rapport entre son cambriolage et les critiques du clan Sarkozy"
L’Etat a-t-il commandité un cambriolage chez Ségolène Royal ? L’accusation est un peu grosse mais l’ex-candidate socialiste n’en a cure. En juillet, après le cambriolage de son domicile parisien, la présidente de la région Poitou-Charentes n’a pas hésité à établir un lien direct entre la "mise à sac" de son appartement et ses critiques contre le "clan Sarkozy".
Re: SANS COMMENTAIRE
Si ce n'est toi, c'est donc ton frère jumeau peut être ?
Farceur !!!!!!!!!!!!!!!
Farceur !!!!!!!!!!!!!!!
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
EXCELLENTISSIME
> >
Un moment de bravoure de laurent gerra
A regarder rapidement, car la page risque de ne pas rester longtemps!!!
> > > >
> > > > https://www.dailymotion.com/relevance/search/gerra%2Bbruni/video/x7fngy_gerra
> > > > -carla-bruni-ta-tienne_fun
> > > >
> > > > Vraiment à ne pas rater, Drucker est à la limite de l'apoplexie!
> >
Un moment de bravoure de laurent gerra
A regarder rapidement, car la page risque de ne pas rester longtemps!!!
> > > >
> > > > https://www.dailymotion.com/relevance/search/gerra%2Bbruni/video/x7fngy_gerra
> > > > -carla-bruni-ta-tienne_fun
> > > >
> > > > Vraiment à ne pas rater, Drucker est à la limite de l'apoplexie!
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Un sacré brin d'humour !
Le Pape sentant sa dernière heure arrivée, envoie une invitation à un assureur et à un Banquier, parmi les plus renommés de Rome.
Il demande à chacun de venir le voir...
Dès leur arrivée, on les conduit dans la chambre où repose le Pape et on les fait asseoir de chaque côté du lit.
Le Pape leur lance un regard intense, sourit, puis regarde au plafond.
Pendant un certain temps, ni l'assureur ni le Banquier ne disent mot.
Ils sont touchés que le Pape ait pu penser à eux sur son lit de mort... tout en étant très intrigués.
"Votre Sainteté ! Pourquoi sommes-nous là ? "
Le Pape, rassemblant ses dernières forces, lui répond très faiblement :
" Jésus est mort entre 2 voleurs...
Je veux faire pareil... "
Le Pape sentant sa dernière heure arrivée, envoie une invitation à un assureur et à un Banquier, parmi les plus renommés de Rome.
Il demande à chacun de venir le voir...
Dès leur arrivée, on les conduit dans la chambre où repose le Pape et on les fait asseoir de chaque côté du lit.
Le Pape leur lance un regard intense, sourit, puis regarde au plafond.
Pendant un certain temps, ni l'assureur ni le Banquier ne disent mot.
Ils sont touchés que le Pape ait pu penser à eux sur son lit de mort... tout en étant très intrigués.
"Votre Sainteté ! Pourquoi sommes-nous là ? "
Le Pape, rassemblant ses dernières forces, lui répond très faiblement :
" Jésus est mort entre 2 voleurs...
Je veux faire pareil... "
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
54ème anniversaire du président
Dernière édition par M-Christine-Modératrice le Jeu 29 Jan 2009, 01:09, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
1955 : naissance de Nicolas Sarkozy , de son nom complet Nicolas, Paul, Stéphane Sarközy de Nagy-Bocsa, né le 28 janvier 1955 à Paris (17e arrondissement), est un homme d'État français, président de la République française depuis le 16 mai 2007. , succédant à Jacques Chirac.
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Deux gars, sont condamnés à morts. Le directeur se tourne vers le premier qui sera exécuté et lui demande :
- "Quelle est votre dernière volonté ?"
- "J’aime la musique…
Vous pourriez passer Céline Dion à la sono pour que je l’entende une dernière fois ?"
- Certainement, on peut faire ça pour vous. (et se tournant vers le deuxième condamné) Et vous, quelle est votre dernière volonté ?
- "Je vous en prie, par pitié : tuez-moi en premier !!!"
Un beau brin d'humour pour commencer la semaine !
- "Quelle est votre dernière volonté ?"
- "J’aime la musique…
Vous pourriez passer Céline Dion à la sono pour que je l’entende une dernière fois ?"
- Certainement, on peut faire ça pour vous. (et se tournant vers le deuxième condamné) Et vous, quelle est votre dernière volonté ?
- "Je vous en prie, par pitié : tuez-moi en premier !!!"
Un beau brin d'humour pour commencer la semaine !
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Sondage - La crise fait chuter Sarkozy
La crise fait chuter Sarkozy
En hausse depuis septembre, la cote de popularité du chef de l'Etat est en baisse de six points ce mois-ci, à 41%, selon le baromètre Ifop pour Paris-Match.
Pour la première fois depuis son arrivée à Matignon, François Fillon rassemble lui plus d'opinions négatives que de positives.
En un mois, Nicolas Sarkozy a perdu six points d'opinions positives, à 41%, selon le baromètre Ifop pour Paris-Match, publié jeudi et réalisé le jour et le lendemain de la grande mobilisation sociale. Il s'agit du plus bas niveau de Français approuvant l'action du président de la République depuis septembre 2008, date à laquelle le taux d'opinions positives se situait également à 41%, souligne l'Ifop. Dans le détail, Nicolas Sarkozy perd 8 points concernant sa façon d'incarner la fonction présidentielle, à 54% contre 62% en janvier. Sa politique sociale est elle approuvée par 37%, contre 39% précédemment.
De son côté, pour la première fois depuis sa nomination à la tête du gouvernement en mai 2007, François Fillon enregistre plus de désapprobations de son action - 50% soit 5 points de plus - que d'approbations - 49% soit 4 points de moins que le mois précédent.
Pour autant, l'Ifop relève que l'opposition ne parvient pas à se positionner comme une alternative crédible. Seuls 30% des Français estiment qu'elle ferait mieux que le gouvernement actuel. Sa crédibilité regrimpe toutefois à gauche, notamment dans les rangs des sympathisants socialistes (+5 à 56%).
Invité- Invité
Re: SANS COMMENTAIRE
Ce n'est pas une blague, cette fois c'est sérieux ! et grave
La lettre de menaces de mort, accompagnée d'une balle de 9 mm, reçue par Sarkozy, Dati, Mam, Albanel et Juppé
Président et ministres : menaces de mort en rafales
Des lettres de menaces de mort, accompagnées d'une balle de 9 mm, ont été adressées ces derniers jours à Nicolas Sarkozy, 3 ministres et 6 élus ou responsables de l'UMP.
Certaines lettres ont été postées depuis Montpellier, Bordeaux ou Bédarieux (Hérault), selon une source policière.
Dans les premières lettres envoyées à des élus locaux, le ou les auteurs s'en prenaient au président de la République et à Rachida Dati et Michèle Alliot-Marie. Les enquêteurs s'attendaient donc à cette nouvelle : d'autres missives menaçantes ont été envoyées cette fois au président de la République et aux ministres de la Justice et de l'Intérieur selon le parquet, la Chancellerie et une source policière. Au menu toujours : des menaces de mort et une balle de 9 mm. La missive à l'adresse de Nicolas Sarkozy a été envoyée en fin de semaine dernière, a annoncé mardi le parquet de Paris. Dans l'après-midi, on a ensuite appris qu'au total 9 ministres ou élus de l'UMP avaient ainsi en plus du président les destinataires de cette missive, dont la ministre de la Culture, Christine Albanel.
Le début de l'affaire avait été révélée par Sud-Ouest mardi matin : Alain Juppé, ancien Premier ministre et actuel maire de Bordeaux, avait reçu lundi matin un tel courrier, qui avait la forme d'une "lettre circulaire", à son bureau à la maire, une même cartouche de calibre 9 mm et des menaces de mort à son encontre.
Selon le quotidien, "l'écrit, d'une vingtaine de lignes", visait également le président Nicolas Sarkozy. Alain Juppé a rapidement porté plainte. Alain Juppé s'est dit mardi "tout à fait serein" quant à ces menaces, expliquant "ce sont les risques du métier, ce n'est pas la première fois ni la dernière, j'imagine" En fin de semaine dernière, c'était Jacques Blanc, maire de Canourgue, en Lozère, et ancien président du Conseil régional de Languedoc-Roussillon, qui avait été visé par de semblables intimidations. Et le 9 février, Raymond Couderc, maire de Béziers (Hérault), avait reçu le même type de missive accompagnée, cette fois, d'une balle de calibre 38.
Enfin le député UMP du Nord Christian Vanneste a confirmé mardi dans la soirée à l'AFP avoir lui aussi reçu mardi ladite lettre. "Ce n'est pas la première fois que je suis l'objet de menaces. Ca ne m'inquiète pas outre mesure. Je n'ai pas l'intention, pour l'instant, de porter plainte, mais ça peut changer s'il y a réitération", a-t-il déclaré. Les personnes visées sont, selon lui, "un certain nombre de responsables de droite qui ont eu des positions fermes". L'auteur des menaces est "quelqu'un qui relève plus du pathologique que du politique", a estimé Christian Vanneste au vu du contenu de la lettre.
"10.000 combattants" et une mystérieuse "cellule 34"
La lettre est à chaque fois la même : dactylographiée sur un papier blanc, sans entête, logo ni signature. Elle se termine par "vous n'êtes que des morts en sursis, mais des morts verrouillés. . Le parquet parle de propos "décousus". Il y a aussi de nombreuses fautes d'orthographes et de propos injurieux. Dix personnalités de droite sont citées dans ces courriers. Parmi elles, le député des Hauts-de-Seine, porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, et le maire UMP de Perpignan, Jean-Paul Alduy, ont indiqué à l'AFP n'avoir pas reçu de lettre.
"Ministres, députés, sénateurs, pourvoyeurs de lois liberticides (...) vous n'êtes que des morts en sursis", proclame le courrier qui menace également "l'UMP, le Nouveau centre FN et autres collabos centristes ou socialos collabos". "Ce courrier est le dernier. Nous faisons le black out, silence radio total", écrivent le ou les expéditeurs en évoquant en fin de lettre "10.000 combattants" et une mystérieuse "cellule 34 (expéditeur courrier)". "C'est pas la peine de me chercher, j'utilise du matériel d'occasion, vous ne me trouverez pas", ajoute encore le courrier.
Le vocabulaire utilisé "piste", "cible", "verrouillé", "silence radio total" fait penser au langage des militaires, a indiqué une source proche de l'enquête. Certaines lettres ont été postées depuis Montpellier, Bordeaux ou Bédarieux (Hérault), selon une source policière.
Une enquête préliminaire sur ces courriers de menaces a été ouverte par le parquet antiterroriste de Paris et confiée à la brigade criminelle. L'envoi de menaces de mort est puni d'une peine d'emprisonnement allant jusqu'à 3 ans et 45.000 euros d'amende. En juin 2006, le tribunal correctionnel de Paris a condamné un jeune homme de 31 ans à 5 mois de prison avec sursis pour des courriels menaçant le président Jacques Chirac. En novembre 2006, un homme de 27 ans avait été condamné à Avignon à 3 mois de prison avec sursis, également pour des menaces contre Jacques Chirac.
La lettre de menaces de mort, accompagnée d'une balle de 9 mm, reçue par Sarkozy, Dati, Mam, Albanel et Juppé
Président et ministres : menaces de mort en rafales
Des lettres de menaces de mort, accompagnées d'une balle de 9 mm, ont été adressées ces derniers jours à Nicolas Sarkozy, 3 ministres et 6 élus ou responsables de l'UMP.
Certaines lettres ont été postées depuis Montpellier, Bordeaux ou Bédarieux (Hérault), selon une source policière.
Dans les premières lettres envoyées à des élus locaux, le ou les auteurs s'en prenaient au président de la République et à Rachida Dati et Michèle Alliot-Marie. Les enquêteurs s'attendaient donc à cette nouvelle : d'autres missives menaçantes ont été envoyées cette fois au président de la République et aux ministres de la Justice et de l'Intérieur selon le parquet, la Chancellerie et une source policière. Au menu toujours : des menaces de mort et une balle de 9 mm. La missive à l'adresse de Nicolas Sarkozy a été envoyée en fin de semaine dernière, a annoncé mardi le parquet de Paris. Dans l'après-midi, on a ensuite appris qu'au total 9 ministres ou élus de l'UMP avaient ainsi en plus du président les destinataires de cette missive, dont la ministre de la Culture, Christine Albanel.
Le début de l'affaire avait été révélée par Sud-Ouest mardi matin : Alain Juppé, ancien Premier ministre et actuel maire de Bordeaux, avait reçu lundi matin un tel courrier, qui avait la forme d'une "lettre circulaire", à son bureau à la maire, une même cartouche de calibre 9 mm et des menaces de mort à son encontre.
Selon le quotidien, "l'écrit, d'une vingtaine de lignes", visait également le président Nicolas Sarkozy. Alain Juppé a rapidement porté plainte. Alain Juppé s'est dit mardi "tout à fait serein" quant à ces menaces, expliquant "ce sont les risques du métier, ce n'est pas la première fois ni la dernière, j'imagine" En fin de semaine dernière, c'était Jacques Blanc, maire de Canourgue, en Lozère, et ancien président du Conseil régional de Languedoc-Roussillon, qui avait été visé par de semblables intimidations. Et le 9 février, Raymond Couderc, maire de Béziers (Hérault), avait reçu le même type de missive accompagnée, cette fois, d'une balle de calibre 38.
Enfin le député UMP du Nord Christian Vanneste a confirmé mardi dans la soirée à l'AFP avoir lui aussi reçu mardi ladite lettre. "Ce n'est pas la première fois que je suis l'objet de menaces. Ca ne m'inquiète pas outre mesure. Je n'ai pas l'intention, pour l'instant, de porter plainte, mais ça peut changer s'il y a réitération", a-t-il déclaré. Les personnes visées sont, selon lui, "un certain nombre de responsables de droite qui ont eu des positions fermes". L'auteur des menaces est "quelqu'un qui relève plus du pathologique que du politique", a estimé Christian Vanneste au vu du contenu de la lettre.
"10.000 combattants" et une mystérieuse "cellule 34"
La lettre est à chaque fois la même : dactylographiée sur un papier blanc, sans entête, logo ni signature. Elle se termine par "vous n'êtes que des morts en sursis, mais des morts verrouillés. . Le parquet parle de propos "décousus". Il y a aussi de nombreuses fautes d'orthographes et de propos injurieux. Dix personnalités de droite sont citées dans ces courriers. Parmi elles, le député des Hauts-de-Seine, porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, et le maire UMP de Perpignan, Jean-Paul Alduy, ont indiqué à l'AFP n'avoir pas reçu de lettre.
"Ministres, députés, sénateurs, pourvoyeurs de lois liberticides (...) vous n'êtes que des morts en sursis", proclame le courrier qui menace également "l'UMP, le Nouveau centre FN et autres collabos centristes ou socialos collabos". "Ce courrier est le dernier. Nous faisons le black out, silence radio total", écrivent le ou les expéditeurs en évoquant en fin de lettre "10.000 combattants" et une mystérieuse "cellule 34 (expéditeur courrier)". "C'est pas la peine de me chercher, j'utilise du matériel d'occasion, vous ne me trouverez pas", ajoute encore le courrier.
Le vocabulaire utilisé "piste", "cible", "verrouillé", "silence radio total" fait penser au langage des militaires, a indiqué une source proche de l'enquête. Certaines lettres ont été postées depuis Montpellier, Bordeaux ou Bédarieux (Hérault), selon une source policière.
Une enquête préliminaire sur ces courriers de menaces a été ouverte par le parquet antiterroriste de Paris et confiée à la brigade criminelle. L'envoi de menaces de mort est puni d'une peine d'emprisonnement allant jusqu'à 3 ans et 45.000 euros d'amende. En juin 2006, le tribunal correctionnel de Paris a condamné un jeune homme de 31 ans à 5 mois de prison avec sursis pour des courriels menaçant le président Jacques Chirac. En novembre 2006, un homme de 27 ans avait été condamné à Avignon à 3 mois de prison avec sursis, également pour des menaces contre Jacques Chirac.
Invité- Invité
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Page 2 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|